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الأحد، 20 فبراير 2022

Abdelaziz Bensouda

 D'éclat ration d'humour 



On peut le dire avec des fleurs,

Jouer l artiste en pleurs

Ou jongler avec lettres phrases ou consoeurs

Moi je préfère te donner mon coeur


De mon coeur jailliront des fleurs

Pour t envelopper de toute la splendeur

Et  t attirer dans mon fond intérieur

Pour te couver d amour et de douceur



Pour toi je serai celui qui veille

Pour moi tu seras le rayon de soleil

Je te butinerais comme une abeille

Tout en admirant tes yeux merveille


Je serais le gâteau tu seras la crème

Je serais le fanion tu seras l emblème

Je serais la couronne tu seras le diadème

Je serais l élu tu seras celle que j aime.

Hassanatène Saifi

 Bonjour beau monde. marcher pied nu sur le


 sable doré de la plage, procure de magiques sensations, permet de se déconnecter du monde pour être en harmonie avec l'infinitude, la béatitude et la quiétude

 Paisible journée de vendredi  au sein du bonheur et la joie

Prompt rétablissement à tous nos malades Paix à l'âme de nos défunts et défuntes dont l'amour reste ancré dans nos coeurs à jamais 


* Quelle douceur d’être au bord de La mer ! *

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La mer s’étire, sans cesse, vers le sable doré

Puis rebrousse chemin pour aussitôt recommencer.

La mer aux vagues souvent écumeuses est splendide

Ses coquillages irisés sur le sable sont vides.

*          *          *

Émerveillée, j’avance doucement pieds nus vers le sable

L’eau tiède me procure une sensation très agréable

Le mouvement ondulatoire des vagues m’ensorcelle

Sous un ciel bleu, au soleil brillant, la mer paraît très belle.

*          *          *

L’une après l’autre, les houles tournent sans pouvoir s’en lasser

Les grosses vagues s’éclatent, par saccade, sur les rochers.

Lors de l’écrêtement, l’eau de la mer se pulvérise

Afin que toute ma mélancolie se vaporise.

*          *          *

Jouent leur symphonie, les vagues déferlantes.

J’entends, le doux bruit des houles froufroutantes

Accompagné de mouettes au ramage ensorcelant.

Ce beau monde chante la chorale avec le vent soufflant.

*          *          *

Je marche, loin des rochers, au bord de la plage déserte

Où la nature semble particulièrement diserte

Où est parsemé un tas de grains de sable très fin

Où l’eau des embruns me rafraîchit les idées enfin.

Essai poétique publié le jeudi 12 mai 2011 au journal "L'Opinion"

extrait de mon recueil d'essais poétiques 

"SPLEEN"

Hassanatène Saifi